Vous vous lancez dans un investissement locatif, mais vous ne savez pas quelle assurance loyers impayés choisir ? Beaucoup d’offres existent sur le marché, mais attention toutes ne se valent pas. Afin de ne pas se retrouver seul face à un locataire qui ne paie plus son loyer, découvrez ci-dessous les éléments principaux à prendre en compte lors de votre choix d’assurance.

Une assurance loyer impayé dont la gestion a pu faire ses preuves

Une assurance loyer impayé est ainsi incontournable lorsque l’on devient propriétaire bailleur, la perte moyenne par bailleur et par an étant estimée à 20 000 euros. Ceci est dramatique, surtout lorsque l’on connait les difficultés à récupérer un logement loué si un problème apparaît avec un locataire. C’est pourquoi il faut choisir un gestionnaire solide, riche d’une expérience dans le domaine et qui jouit d’une bonne réputation.

En effet, nombreuses sont les nouvelles assurances en la matière, pouvant malheureusement rimer avec mauvaise gestion : prise en charge sous conditions restrictives et abusives, délai de récupération du logement interminable ou encore agence pas assez solide face à la constante augmentation des loyers impayés. Une assurance expérimentée saura absorber ce phénomène sans difficulté et sans chercher une faille à votre contrat !

Enfin, une assurance fiable vous permettra d’interagir rapidement avec son équipe d’experts, notamment via une plateforme en ligne où la constitution du dossier de déclaration de sinistre pourra être rapidement établie. Pour en savoir plus sur les services d’une assurance installée depuis longtemps, consultez le site maif.fr.

Une assurance qui agit rapidement à vos côtés

Une assurance loyer impayé se doit d’être disponible rapidement, ainsi que de mettre des outils à votre disposition, afin d’accélérer les procédures. En effet, les meilleurs gestionnaires possèdent une plateforme en ligne, complètement dédiée à vos procédures de demande d’indemnisation de loyers impayés ou encore d’aide à l’expulsion d’un locataire mauvais payeur.

Après avoir réclamé votre loyer impayé auprès du locataire par le biais d’un courrier classique, puis par une relance en recommandé, il vous sera demandé de transmettre à la société d’assurance un certain nombre de documents pour déclencher leur assistance : le dossier de location, les copies de courriers de relance, le récapitulatif détaillé des sommes non payées, etc. Pour ceci, il est évidemment plus simple d’utiliser une plateforme connectée où tout le dossier pourra être reçu le jour même de votre réclamation.

Notons également que pour les cas les plus sévères, où le locataire ne paie plus du tout son loyer, mais ne souhaite pas non plus quitter le logement, les démarches sont longues et fastidieuses. Pouvant durer jusqu’à 2 ans, les procédures d’expulsion, ainsi que les échanges avec le gestionnaire de sinistre seront grandement facilités par un outil numérique instantané.

Un contrat d’assurance aux clauses flexibles

Dernier point crucial, les termes du contrat d’assurance peuvent parfois piéger le propriétaire bailleur par des clauses restrictives, voire abusives. En effet, certaines clauses peuvent empêcher toute indemnisation ou procédure d’aide à l’expulsion, comme :

  • un locataire dont les revenus n’équivalent pas à trois fois le prix du loyer ;
  • un passeport français qui a expiré ;
  • un contrat de travail mal paraphée ;
  • etc.

Ce type de fonctionnement a grandement contribué à donner une mauvaise réputation aux assurances, tellement bien que beaucoup de propriétaires bailleurs ne souscrivent même plus à une assurance malgré les risques !

Ainsi, il faut miser sur une assurance aux clauses raisonnables, voire flexibles. Certaines sociétés tolèrent 2,7 fois le montant du loyer en salaire ou encore incluent les autres types de revenus (allocations familiales, revenus fonciers, etc.) Plus avancées encore, certaines n’excluent pas les statuts jugés moins stables, comme les CDD de longue durée ou les indépendants non salariés.