Publié le : 25 septembre 20204 mins de lecture

Une canalisation s’est rompue dans l’usine d’une filiale du géant du nucléaire implanté dans la Drôme.

La rupture d’une canalisation d’une usine implantée à Romans-sur-Isère (Drôme) a entraîné des rejets d’uranium dans l’environnement. «Les premières analyses montrent qu’il n’y a pas du tout d’impact sur l’environnement car les quantités d’uranium sont très faibles, de l’ordre de quelques centaines de grammes», a assuré l’Autorité de sûreté nucléaire. «La nappe phréatique est très éloignée et le sol est très étanche», a-t-elle précisé.

L’incident s’est produit dans l’usine FBFC, qui fabrique du combustible nucléaire pour des centrales de production d’électricité et des réacteurs de recherche. FBFC est une filiale d’Areva, le géant français du nucléaire.

Ce nouvel incident intervient quelques jours après la fuite de 74 kg d’uranium de l’usine Socatri, située sur le site du Tricastin, une autre propriété d’Areva. Le groupe a admis «un manque de coordination évident entre les équipes en charge des travaux et celles responsables de l’exploitation», et limogé le directeur de la Socatri. Ce dysfonctionnement est «à l’origine de cet incident», a reconnu Areva, dont la dirigeante, Anne Lauvergeon, doit se rendre sur place vendredi.

Interrogée sur d’éventuelles similitudes entre l’incident de la Drôme et celui du Tricastin, l’ASN a souligné qu’il s’agissait d’un incident de nature très différente. «De notre point de vue, il n’y a absolument pas de lien avec Socatri car il n’y a pas du tout d’impact sur l’environnement», a expliqué la porte-parole.

La rupture d’une canalisation d’une usine implantée à Romans-sur-Isère (Drôme) a entraîné des rejets d’uranium dans l’environnement. «Les premières analyses montrent qu’il n’y a pas du tout d’impact sur l’environnement car les quantités d’uranium sont très faibles, de l’ordre de quelques centaines de grammes», a assuré l’Autorité de sûreté nucléaire. «La nappe phréatique est très éloignée et le sol est très étanche», a-t-elle précisé.

L’incident s’est produit dans l’usine FBFC, qui fabrique du combustible nucléaire pour des centrales de production d’électricité et des réacteurs de recherche. FBFC est une filiale d’Areva, le géant français du nucléaire.

Ce nouvel incident intervient quelques jours après la fuite de 74 kg d’uranium de l’usine Socatri, située sur le site du Tricastin, une autre propriété d’Areva. Le groupe a admis «un manque de coordination évident entre les équipes en charge des travaux et celles responsables de l’exploitation», et limogé le directeur de la Socatri. Ce dysfonctionnement est «à l’origine de cet incident», a reconnu Areva, dont la dirigeante, Anne Lauvergeon, doit se rendre sur place vendredi.

Interrogée sur d’éventuelles similitudes entre l’incident de la Drôme et celui du Tricastin, l’ASN a souligné qu’il s’agissait d’un incident de nature très différente. «De notre point de vue, il n’y a absolument pas de lien avec Socatri car il n’y a pas du tout d’impact sur l’environnement», a expliqué la porte-parole.